Mes intérêts de recherches portent sur la caractérisation des troubles cognitifs dans le vieillissement normal et dans la démence de type Alzheimer. Je souhaite mieux comprendre comment la mémoire se modifie avec l'âge, dans la maladie d'Alzheimer et dans les troubles cognitifs légers. Je m'intéresse aux processus de réserve et de résilience et aux mécanismes qui permettent à certains individus de mieux résister aux effets de l'âge et de la maladie d'Alzheimer ainsi qu'aux caractéristiques individuelles des personnes répondant le mieux aux entraînement cognitifs. Je m'intéresse aux interventions cognitives et aux phénomènes de compensation et de plasticité cérébrale lors vu vieillissement normal et dans la maladie d'Alzheimer. De plus, je travaille à la mise en place de stratégies pour disséminer ces programmes d'entraînements cognitifs à la plupart des Canadiens, notamment en utilisant les nouvelles technologies (telles la réalité virtuelle et les plateformes en ligne). 

Les intérêts de recherche de Benjamin Boller sont axés sur le vieillissement cognitif normal et pathologique. Plus précisément, une partie de ses travaux de recherche portent sur les facteurs interindividuels qui modulent les effets de l'avancée en âge sur le cerveau et la cognition. Une autre partie de ses travaux s'intéresse au développement d'interventions cognitives  préventives du déclin des capacités cognitives, aux effets de ces interventions au niveau comportemental et neurophysiologique et aux facteurs qui pourraient amplifier ces effets tels que le niveau de réserve cognitive ou l'usage d'environnement en réalité virtuelle lors des interventions.

Neuropsychologie de l’épilepsie du cortex insulaire. Rôle de l’insula dans le fonctionnement neuropsychologique (études de lésion, EEG intracrânien, neuroimagerie). Apport des tests cognitifs dans la prédiction de la localisation du foyer épileptogène. Impacts de la neurochirurgie de l’épilepsie sur les fonctions neuropsychologiques.

Les activités de recherche de Simona Maria Brambati s’inscrivent dans le domaine des neurosciences du langage, selon deux axes : un axe clinique, subventionné par les IRSC, et un axe fondamental, subventionné par la Chaire Courtois III et le CRNSG.

Pour mener à bien les projets, les membres du laboratoire ont recours à différentes approches d’imagerie par résonance magnétique et d’intelligence artificielle, et à des données acquises ou en cours d’acquisition par le laboratoire et à des banques de données.

La psychologie cognitive expérimentale, les modèles et simulations informatiques des processus cognitifs, et l'imagerie du cerveau pour déterminer pourquoi et comment l'attention fonctionne ou fait défaut.

Sur le plan de la recherche, Dr Larochelle s'intéresse aux processus de catégorisation qui sont actifs dans la perception et qui sous-tendent notre conceptualisation du monde environnant. L'approche adoptée dans ces recherches comporte une dimension expérimentale qui a pour but d'inférer la nature des processus de catégorisation et des représentations qui en résultent, ainsi qu'une dimension calculatoire qui vise à en simuler les propriétés. Ainsi, certains travaux en cours (avec D. Cousineau et C. Lefebvre) portent sur la détection automatique de diverses catégories d'objets dans le champs visuel et proposent un modèle de l'attention visuelle. D'autres travaux (avec G. Lacroix) examinent les traces mnésiques laissées par les exemplaires rencontrés ainsi que l'importance relative de ces traces dans la catégorisation d'objets (par opposition au rôle joué par des règles de catégorisation, par exemple). Des travaux antérieurs (avec H. Pineau et avec S. Richard et I. Soulières) ont contribué une analyse détaillée du temps pris pour vérifier l'appartenance à des catégories naturelles (ex., arbres, oiseaux) et à des catégories nominales (ex., nombres), dans le but de mieux spécifier ces divers types de représentations mentales. Enfin, d'autres travaux plus anciens (avec D. Saumier et avec M. Izaute et J. Morency) ont porté sur la connaissance et la méta-connaissance du sens des mots.

Sonia Lupien étudie les effets des hormones de stress (particulièrement les glucocorticoides) sur le cerveau humain, de l’enfance à l’âge avancé.  Elle tente de cerner les mécanismes par lesquels le stress aigu et chronique peut affecter la mémoire et mener à des troubles de santé mentale chez l’humain.

Mme Lupien s'intéresse également au développement de programmes (ex: Dé-stresse et progresse©) et d'applications mobiles (Ismart Application et Réadapp Application)  pour faciliter la réduction et la gestion du stress chez diverses clientèles.

Champs d'expertise

• Stress
• Cortisol (hormone du stress)
• Psychoneuroendocrinologie
• Neurobiologie et cognition
• Santé mentale

Mon domaine de recherche est la neuropsychologie cognitive. L'approche se caractérise par l'étude des effets de lésions cérébrales sur les fonctions cognitives. Les fonctions qui m'intéressent sont: la perception et la reconnaissance musicale; les émotions; le langage; la prosodie; la mémoire. Ces fonctions ont toutes un lien avec la cognition musicale qui demeure mon champ d'intérêt principal. Outre les cérébro-lésés, nous travaillons aussi avec les adultes sains neurologiquement ou présentant un trouble congénital particulier (autisme, amusie congénitale). Enfin, nous exploitons diverses techniques d'exploration dont, actuellement, les potentiels évoqués (ERPs), l'imagerie cérébrale par résonance magnétique et les réponses électrodermales. Enfin, notre équipe a accès à deux labratoires. L'un se trouve au département de psychologie au sein du Centre de recherche du GRENE et l'autre à l'Institut universitaire de gériatrie de Montréal. Mes travaux de recherche bénéficient du support financier du CRSNG et du IRSC (CRM) ainsi que du FCAR et du FRSQ.